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Le Monde sans fin, miracle énergétique et dérive climatique Relié – Illustré, 29 octobre 2021
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Relié, Illustré
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- Nombre de pages de l'édition imprimée196 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurDARGAUD
- Date de publication29 octobre 2021
- Dimensions24.9 x 30.2 x 2.2 cm
- ISBN-102205088165
- ISBN-13978-2205088168
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Description de l'éditeur

Été 2018. Alors qu’une canicule s’abat sur la France, Christophe Blain roule en direction de la Normandie, tandis que sa compagne lui lit à voix haute un article sur le réchauffement climatique.
Pour l’auteur de Gus et de Quai d’Orsay, les conclusions de cette lecture sont un choc. En 2050, la température à Paris flirtera avec les 50 °C… De cette prise de conscience est né ce livre, réalisé en collaboration avec Jean-Marc Jancovici, spécialiste des énergies et du climat.
Le constat de celui-ci est simple et sans appel. Nous vivons dans une société qui a besoin de flux physiques titanesques. Ces flux ne peuvent exister que grâce à « quelque chose » qui joue un rôle essentiel et dont on ne mesure pas toute l’importance : l’énergie. Celle-ci nourrit des machines qui sont devenues le pilier de notre civilisation. Pour autant, l’énergie ne pourra augmenter indéfiniment.
Et par voie de conséquence, l’économie non plus. Que faire, comme disait Lénine ?
Jancovici, intarissable, raconte. Il parle de super pouvoirs et d’histoire, de pétrole, de climat, d’écologie, d’économie et de réchauffement climatique. Bref, du monde dans lequel nous vivons, et dont nous ne sommes pas certains qu’il ressemblera demain à ce qu’il est aujourd’hui. Blain, infatigable, écoute et dessine.
Il se met en scène dans le rôle du Candide pour traduire en images les propos de l’ingénieur, usant de métaphores aussi amusantes qu’éclairantes afin de faciliter la compréhension du lecteur. Lequel découvre qu’il compte sur l’énergie tous les jours, sans même s’en rendre compte, rien qu’en se brossant les dents ou en s’habillant. Et que l’énergie lui fournit six cents esclaves – mécaniques donc moraux – travaillant à son service en permanence…


Les auteurs ne se veulent ni optimistes ni pessimistes. Il n’existe pas de recette miracle : la solution viendra de chacun de nous, politiques ou simples citoyens. Il ne nous reste plus qu’à nous retrousser les manches, ce qui ne nous demandera qu’une faible dose d’énergie, mais une bonne dose de lucidité et de courage.
La lecture de ce Monde sans fin devrait nous y aider. Drôle autant que passionnante, elle est indispensable pour prendre la mesure des enjeux contemporains, qu’il s’agisse d’économie, de climat ou d’écologie.

Depuis vingt ans, Jean-Marc JANCOVICI à la dérive climatique essaie de nous faire comprendre que, tout ce qui a été rendu possible dans le monde moderne, nous le devons à l’énergie. Mais la géologie et le climat nous imposent d’inventer une histoire nouvelle.
Christophe BLAIN est auteur de bande dessinée. Il flippe.
Description du produit
à propos de l'auteur
Jean-Marc Jancovici est associé co-fondateur de Carbone 4, une société de conseil et de données spécialisée dans les questions liées au changement climatique, et président du think tank The Shift Project. Il est également enseignant à Mines ParisTech, membre du Haut conseil pour le climat, et conférencier. Il est l'auteur ou le co-auteur de plusieurs livres dont "L'Avenir climatique, quel temps ferons-nous ?" (Points), "Dormez tranquille jusqu'en 2100" (Odile Jacob) ou "C'est maintenant ! 3 ans pour sauver le monde" (Seuil). Il est diplômé de l'École Polytechnique et de l'école Nationale supérieure des télécommunications. Jean-Marc Jancovici est considéré comme le spécialiste incontournable en matière d'énergie et de climat. "Le Monde sans fin" (Dargaud) est sa première bande dessinée réalisée avec un grand nom du 9e art, Christophe Blain.
Détails sur le produit
- Éditeur : DARGAUD; Illustrated édition (29 octobre 2021)
- Langue : Français
- Relié : 196 pages
- ISBN-10 : 2205088165
- ISBN-13 : 978-2205088168
- Dimensions : 24.9 x 30.2 x 2.2 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : #60 dans Livres (Top 100 dans Livres)
- #1 dans Manga et romans graphiques
- #1 dans Bandes dessinées et romans illustrés
- Commentaires client :
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Je connaissais déjà Jean-Marc Jancovici pour avoir suivi toutes ses conférences et tous ses entretiens, mais cette BD est vraiment le Top. De sa collaboration avec un dessinateur de talent, Christophe Blain naît une excellente démonstration à la fois instructive, pédagogique et drôle, malgré un sujet qui est loin de l'être.
A offrir à Noël dans sa famille, pour ses enfants et pour ses amis. A faire connaître absolument, tellement les ignorants et les inconscients pullulent, en cette période de COP26 dont la Presse parle bien peu.
Très fourni, tout est clair, on en ressort vraiment informé.
Un commentaire recueilli sur youtube à la suite d'une conférence : "Quand j'écoute M. Jancovici j'ai l'impression d'être intelligent." ... Si seulement tout le monde l'écoutait ! 27€ un prix très abordable.



C'est assez verbeux, évidemment, car il y a bcp d'idées à détailler, mais ce livre me parait parfait comme base de discussions ouvertes entre des ados et des "boomers" (qui ne supportent pas les discours de Greta T.).
Sur le fond, ici, on parle Ecologie avec le pragmatisme de la Science, loin des discours de nos écolos politiques qui se complaisent en posture et autres "convergence des luttes" qui ne convainquent qu'une minorité idéologue (donc anti-pragmatique et mortifère pour les Humains).
M.Jancovici, lui, démontre ! Bien sûr, il met le doigt là où ça fait mal : il faut réduire drastiquement notre consommation d'énergie, donc réduire les transports individuels et aériens, donc les voyages...et oui, il nous incite à la sobriété, mais en l'expliquant sous forme de choix > conséquences, ce qui est beaucoup plus digeste que les discours moralisateurs tenus par des personnes souvent incultes et dogmatiques, qui ne sont là que pour leur carrière politique.

De très bonnes illustrations donnent de bons repères sur la puissance et l'efficacité de ces énergies.
Deux réserves cependant :
1-l'explication des chocs pétroliers des années 1970 qui ne sont pas dus à une raréfaction temporaire du pétrole comme l'affirment les auteurs. La cause est en réalité le désordre monétaire induit par l'endettement des États-Unis. Ces derniers, devenus importateurs de pétrole, ont émis des dollars pour financer leurs achats à crédit provoquant. Il est plus facile de créer une dette en dollars que d'extraire un baril. C'est la méfiance des pays exportateurs qui a conduit à une hausse des prix. La fin des accords de Bretton Woods et l'établissement d'un système mondial de monnaie-dette (pétrodollars) explique ce choc pétrolier ; celui que nous sommes actuellement en train de vivre est du au surendettement massif des pays développés dont la création monétaire s'est emballée depuis 2008.
2- Il aurait été bon d'expliquer que l'extraction pétrolière a sa propre limite énergétique : s'il faut dépenser plus qu'un baril d'équivalent énergie pour extraire un baril enfoui très profondément enfoui, personne ne le fera.
La seconde partie reprend la thèse du GIEC et d'Al Gore sur l'origine du réchauffement climatique : les gaz à effets de serre et le CO2 émis par l'activité humaine. Aucun recul. Aucune critique. Pourquoi les prévisions apocalyptiques du GIEC ne se sont-elles jamais matérialisées ? La science se veut prédictive et jusqu'à présent les modèles apocalyptiques du GIEC sont systématiquement pris en défaut. Pourquoi sans exploitation d'énergie fossile, l'optimum climatique du Moyen-Âge a-t-il existé ? Pourquoi passer sous silence les nombreuses communications scientifiques qui défendent d'autres thèses pour expliquer la fin de la mini époque glaciaire qui a succédé à l'optimum du Moyen-Âge ?
Comment peut-on arriver à écrire (page 124) une phrase qui fleure le totalitarisme elle que "la vitesse à laquelle il faut réformer le système n'est pas compatible avec le maintien d'une liberté individuelle accompagnée du niveau de vie auquel on est habitué aujourd'hui" sur la base d'une thèse de réchauffement anthropique mal établie ?
Je résiste pas aussi à citer cette phrase d'une naïveté confondante (p. 139) : "l'argent du pétrole et du gaz émanant de l'industrie la plus riche du monde n'a pas pu acheter les quelques milliers de scientifiques qui rédigent les rapports du GIEC". Le GIEC est largement financé par Al Gore qui est un digne représentant de la véritable industrie la plus riche du monde : l'industrie financière ! Rappelons qu'Al Gore est un gérant de fonds en énergies renouvelables, alimenté par l'internationale des contribuables, et Al Gore profite de son terrorisme climatique.
Les auteurs sont favorables au nucléaire (ce qui est raisonnable) mais ne lèvent pas une contradiction à leur propre thèse. Parmi les gaz à effets de serre, la vapeur d'eau est le plus important disent-ils à juste titre. Les cheminées des centrales nucléaires en crachent. Donc le nucléaire ne serait pas neutre en émission et participerait lui aussi au réchauffement climatique. On attend en vain de lire la réfutation de ce point.
Rien sur la fusion nucléaire ou les derniers développements concernant le thorium (les centrales sans le risque de radioactivité).
Conclusion mièvre émaillée de poncifs du genre "Il faut croire et agir ensemble pour des choses qui ont des chances de se réaliser... Affronter ensemble les problèmes et se mettre d'accord sur les modalités".
À lire pour la première partie et sa bonne vulgarisation. La seconde partie permet de mieux comprendre les leviers du terrorisme climatique auquel nous sommes soumis. Bien dans la pensée unique du moment.